Parpalhejades? Késako?
Néologisme très personnel, issu de la rencontre fortuite de parpalhejar et de galéjades: ils se sont plu et de leur union est né ce nouveau mot. D'ailleurs glouglou, notre cher moteur de recherche, s'est empressé de reconnaître officiellement le nouveau né comme appartenant à la syntaxe française du net!
...et si vous n'en avez pas assez des définitions, allez fouiller au grenier du côté du dictionnaire occitan, vous trouverez de quoi éclairer un peu mieux votre lanterne...
...et si vous n'en avez pas assez des définitions, allez fouiller au grenier du côté du dictionnaire occitan, vous trouverez de quoi éclairer un peu mieux votre lanterne...
Les parpalhéjades de Madame Tatin*
je l'imagine un brin commère, derrière ses airs de sainte nitouche...alors je lui laisse la parole pour quelques variations improbables
* voir onglet peintures le tableau de J.C BOISSON dont ce médaillon est extrait
* voir onglet peintures le tableau de J.C BOISSON dont ce médaillon est extrait
VARIATIONS CARICATURES et IDÉES REÇUES
sur le thème de "l'éternel féminin"...
Notre petite compagne
Si mon Air vous dit quelque chose,
Vous auriez tort de vous gêner ;
Je ne la fais pas à la pose ;
Je suis La Femme, on me connaît.
Bandeaux plats ou crinière folle,
Dites ? quel front vous rendrait fou ?
J'ai l'art de toutes les écoles,
J'ai des âmes pour tous les goûts.
Cueillez la fleur de mes visages,
Buvez ma bouche et non ma voix,
Et n'en cherchez pas davantage...
Nul n'y vit clair ; pas même moi.
Nos armes ne sont pas égales,
Pour que je vous tende la main,
Vous n'êtes que de naïfs mâles,
Je suis l'Eternel Féminin !
Mon But se perd dans les Etoiles !....
C'est moi qui suis la Grande Isis !
Nul ne m'a retroussé mon voile.
Ne songez qu'à mes oasis....
Si mon Air vous dit quelque chose,
Vous auriez tort de vous gêner ;
Je ne la fais pas à la pose :
Je suis La Femme ! on me connaît.
(Jules Lafforgue/1860-1887)
Si mon Air vous dit quelque chose,
Vous auriez tort de vous gêner ;
Je ne la fais pas à la pose ;
Je suis La Femme, on me connaît.
Bandeaux plats ou crinière folle,
Dites ? quel front vous rendrait fou ?
J'ai l'art de toutes les écoles,
J'ai des âmes pour tous les goûts.
Cueillez la fleur de mes visages,
Buvez ma bouche et non ma voix,
Et n'en cherchez pas davantage...
Nul n'y vit clair ; pas même moi.
Nos armes ne sont pas égales,
Pour que je vous tende la main,
Vous n'êtes que de naïfs mâles,
Je suis l'Eternel Féminin !
Mon But se perd dans les Etoiles !....
C'est moi qui suis la Grande Isis !
Nul ne m'a retroussé mon voile.
Ne songez qu'à mes oasis....
Si mon Air vous dit quelque chose,
Vous auriez tort de vous gêner ;
Je ne la fais pas à la pose :
Je suis La Femme ! on me connaît.
(Jules Lafforgue/1860-1887)
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Ce poème, assez peu connu, faisait partie du répertoire de Juliette Gréco à ses débuts...avec "Si tu t'imagines" de Raymond Queneau
à Jujube qui a su si bien être nous... toutes ces femmes en une seule |
 Jujube toutes les femmes en une seule
-papillotages |
La femme fatale
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 La femme fatale chez Gustave Klimt
-papillotages |
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La pin up invention des années vintage Quel peintre a écrit: «Les femmes ne trouvent leur portrait ressemblant que lorsqu'il ressemble à ce qu'elles voudraient être.» ? REPONSE: Jean Gabriel Domergue (clic) |
C'est lui, Jean Gabriel Domergue (Jean Gab' pour les intimes) qui "inventa la pin up" dans les années 50, enfin d'après ses dires : voir ci dessous quelques unes de ses affiches de l'époque ...  affiches de Jean Gabriel Domergue /papillotages |
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      ...Ce ne seront jamais ces beautés de vignettes,
Produits avariés, nés d'un siècle vaurien, Ces pieds à brodequins, ces doigts à castagnettes, Qui sauront satisfaire un cœur comme le mien. Je laisse à Gavarni, poète des chloroses, Son troupeau gazouillant de beautés d'hôpital, Car je ne puis trouver parmi ces pâles roses Une fleur qui ressemble à mon rouge idéal...(Baudelaire) |
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L'allumeuse
version brune ou version blonde, elles opèrent parfois en duo...et pour la bonne cause!
ici Jeanne Moreau et Brigitte Bardot dans Viva Maria un film de Louis Malle -1965 Anecdote du tournage qui fut apparemment très très chaud: en fin de tournage les figurants, qui avaient été choisis malencontreusement parmi des bandes rivales, poussèrent le réalisme jusqu'à se tirer dessus..mais à balles réelles !! |
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La mystérieuse
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 La mystérieuse de Soir de Paris BOURJOIS papillotages |
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La bonne copine
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Indiscrétion d'une bonne copine...
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L'ogresse
attention danger! elle vous enveloppe de sa sollicitude surtout quand vous ne le demandez pas: elle vous sert copieusement la soupe jusqu'à vous gaver au sens propre comme au figuré.. C'est l'ogresse d'Hansel et Gretel ( conte des frères Grimm) qui attire avec sa généreuse cabane de friandises pour mieux capturer les proies qu'elle pourra dévorer quand elles seront à point...mais qui ne combleront pas pour autant son insatiable appétit . Ne soyez-pas sa prochaine victime! ( à force de courage et de ruse, dans le conte c'est Gretel qui réussit à sauver son petit frère et fit la peau de cette saleté..) ci contre une affiche de Gino Boccasile 1901-1952, artiste italien qui mit d'abord son talent de créateur au service de la propagande de Mussolini avant de se reconvertir dans l'affiche publicitaire lien vers les affiches de Boccasile datant d'après guerre donc expurgées du contenu raciste : ici voir aussi Psychanalyse des contes de fées de Bruno Bettelheim |
 Gino Boccasile / 1950/ Bejana - papillotages |
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L'ingénue Yvette Guilbert par Toulouse Lautrec |
Les ingénues en chanson par Yvette Guilbert: (un peu Madame Tatin sans doute ... et bien d'autres encore) Yvette Guilbert vue par Gustave Geoffroy - critique d'art - : elle articule, elle expédie les mots dans toute la salle /.../ Son second secret, c'est son flair de chanteuse, son odorat qui subodore l'arôme de la pourriture de cette fin de siècle" |
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La Sainte Nitouche
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 Causette ( papillotages) |
réponse à l'énigme n° 1 ( clic)
La Vénus de banlieue
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..et autres variations sur "l'éternel masculin"
...qui fut inventé plus récemment à partir de l'autre
Le chaud lapin
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..."Gastounet" était un drôle d'aousel. La légende dit que Se canta' , chanson d'amour considérée depuis le XXe siècle comme l'hymne de l'Occitanie, aurait été écrite par lui, Gaston Phébus Comte de Foix, vicomte de Béarn. Sa belle aurait été forcée de le quitter pour rejoindre la Navarre. Fou de chagrin, Phébus aurait écrit cette chanson. Ça c'est la version officielle! Mais il paraîtrait, d'après une autre version, qu'elle aurait rejoint la Navarre, lassée de ses diverses infidélités.... Sacré Gastounet!!  Gaston Phébus |
Le teigneux
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PAN! prends ça dans le pif...
Ils ont rouvert leurs vieux cartables et ils ont retrouvé leurs coups de poing d'antan, bien rangés, bien au chaud...
allez! c'est parti pour "la castagne" version carcassonnaise... castagne virtuelle bien sûr! On commencerait volontiers par escagasser les instits! D'abord les anciens...ça mange pas du pain, après on verra les autres! (clic sur l'image pour ouvrir le lien vers une joyeuse partie de lancer de ...plumes sergent major, dénichée sur l'excellent blog de Martial Andrieu: Histoires de Carcassonne) |
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Le paumé magnifique:
Milord  Affiche Toulouse Lautrec -papillotages- |
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